Temps de sang

Par Escrivan , le 1 novembre 2022 , mis à jour le 3 octobre 2025 — Horreur - 5 minutes de lecture

Avez-vous changé l’heure pour entrer en temps de sang ?
Cette histoire est fictionnelle.
Contient des passages violents non adaptés aux public sensibles et/ou trop jeunes.

Il est 3 heures. Je suis passé devant chez elle, sans idées préconçues. J’étais dans un état d’excitation maximale. C’est assez isolé, une jolie petite maison. Je ne devrais pas m’approcher de cette maison comme ça. Je suis passé derrière et j’ai vu une fenêtre ouverte. Je m’en suis approché et j’ai regardé discrètement à l’intérieur. Une chambre d’enfant. Vide. Je ne devrais pas rentrer dans cette maison comme ça. Je rentre à l’intérieur. Je referme la fenêtre. N’importe qui pourrait entrer, c’est dangereux dans le monde où nous vivons, il y a tellement de pervers psychopathes comme ça. La porte de cette chambre est ouverte. Je devrais sortir de cette maison comme ça. Je me dirige vers la porte et je me glisse doucement dans le couloir. Il y a le salon à droite, et deux autres pièces à gauche. Une ouverte. Je marche doucement vers cette porte. Je regarde discrètement dans la pièce. Elle est là, seule, allongée sur le ventre. Son visage est tourné vers l’autre coté. Je ne devrais pas la regarder dormir comme ça. Je suis hypnotisé par ses formes à travers le drap. Je l’aime et je la hais, je la désire et je l’abhorre. Je devrais partir sur le champ, sortir de cette maison comme ça. Je dois être sur qu’elle est seule. La cuisine. La pièce la plus dangereuse d’une maison. Un magnifique porte-couteaux est posé sur la table. Je choisis un couteau. Je me dirige vers l’autre porte. Je vais devoir l’ouvrir. Je l’ouvre tout doucement. Il est là. M…Jusqu’à présent ils étaient deux, maintenant on l’est toujours. En suite de lui, le salon ? J’y vais. Personne. Je devrais foutre le camp d’ici comme ça. Je passe devant la porte d’entrée. Je m’arrête. Je vérifie que c’est fermé à clé. Je reprends ma route vers cette chambre tombeau. Je ne devrais pas aller dans cette chambre la violer comme ça, la torturer comme ça, l’égorger comme ça, la vider comme ça et la décapiter comme ça. Je rentre dans sa chambre. Je pose le couteau au sol, à coté du lit. Je fais glisser le drap sur ses fesses et ses jambes. Elle porte une petite culotte blanche échancrée et un petit t-shirt rose à fines bretelles. Mimi. Elle gémit et tourne la tête. Je ne devrais pas la regarder comme ça. Avant même qu’elle n’ai eu le temps d’ouvrir les yeux, j’ai sauté sur le lit au dessus d’elle à califourchon et je l’ai bombardé de coups de poings au visage. Une vraie machine enragé. Je ne devrais pas la taper comme ça. Je l’ai mise sur le dos et je l’ai frappé à coups de poings dans le visage. Elle est totalement sonnée, le visage explosé. J’ai soulevé son débardeur et malaxé ses seins. J’ai serré le débardeur autour de son cou. Fort. Elle s’étouffe et convulse. Je relâche. Je baisse sa culotte et enfonce deux doigts dans son vagin.Je ne devrais pas la violer comme ça. Je lui enlève, je soulève et écarte ses jambes et je la viole. Je la met sur le dos et je la reviole, sans retenues. Je la remet sur le dos. Je pose un oreiller sur son visage et je le serre autour avec son sous-tifs. Elle se débat un peu. Elle convulse et tremble pendant quelques minutes et puis plus rien. Est-elle morte ? Je devrais la laisser en vie comme ça. Je retire le coussin et la viole encore. J’enfonce le couteau dans sa chatte et je remonte. Elle n’était pas morte. Elle se soulève en criant : « M…..». Son fils. Je lui dit que je l’ai doucement étranglé. Elle tourne ses yeux vers moi. Il y a une lumière brisée sur ses iris. Je lui confirme que oui, j’ai bien violé, torturé, étranglé et découpé son fils de 6 ans dans sa chambre. Je ne devrais pas lui dire ça comme ça. Je la laisse se vider de ses larmes en même temps que de son sang. Il y en a beaucoup. Comme elle est toujours vivante, il y a une pression sanguine. La source se tarit en même temps qu’elle s’en va. Où ? Je ne sais pas. Mais elle y part avec une larme qui coule sur sa joue droite. Sa dernière larme. J’en fonce le couteau dans le coté droit de son cou. 18 centimètres. Je n’aurai pas du la tuer comme ça. J’ouvre son abdomen. Elle ne bouge plus. Son intestin jaillit. Je ne devrais pas la vider comme ça . Je pose un drap sur sa tête, je me met au dessus d’elle à califourchon et je découpe sa tête. Je ne devrais pas la décapiter comme ça. J’enfonce profondément le couteau dans le coté gauche de son cou, lame vers le haut. Je remonte en suivant la courbe de son cou. Ça fait des drôles de bruits: des os qui craquent, des bruits de liquides, des élastiques qui claquent… Je fait le tour et je coupe le rachis cervical, je tire par les cheveux et la tête se détache de son corps dans un bruit de succion. Je retire le drap. Elle a les yeux grands ouverts. Je ne devrais pas la regarder comme ça. C’est impressionnant. Vision unique de sa tête, et de ses yeux que je fixent, séparés de leur corps hôte. Elle ne devrait pas me regarder comme ça. Je crève ses deux yeux avec le couteau. Je l’enfonce dans les globes qui éclatent et coule sur son visage en sang. Je vide son abdomen au couteau comme ça. Je poignarde ses organes un par un et je finis par les découper comme ça. Je remet ce tas de viande dans son ventre comme ça, et je pose sa tête par dessus comme ça. Je n’aurais pas du rentrer dans cette maison. Il est 2 heures.

FIN

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