Le laboratoire d’Anne-Lise

Par Escrivan , le 16 mars 2024 , mis à jour le 3 octobre 2025 , 1 commentaire — NSFW - 8 minutes de lecture

Nous nous permettrons quelques entorses à la bienséance de la réalité,
qui pourront choquer les neurones non avertis/aguerris, puisque cela est une fiction.
À moins d’admettre qu’il existe, comme pour le monde des mathématiques, un monde de la folie, tout ceci n’est pas… Réel !
Cette histoire contient des élements (très) violents et est déconseillée aux personnes (même peu) sensibles et/ou trop jeunes.
Le « Je » est totalement imaginaire, je ne sais pas qui c’est, et ne veux pas le savoir !

Action. Ils sont là. Bosco et monsieur Moustache. Et Moi aussi. Avant d’en arriver là tous les trois, quel tortueux chemin ! Avec moi au milieu de ce chemin, monsieur Moustache à gauche me poussant à continuer, et Bosco me disant que c’était de la folie, que je devais faire demi-tour, que c’était totalement suicidaire, que Ouaf-Ouaf… Les Miaous-Miaous de monsieur Moustache et ma folie ont eu raison des conseils de Bosco et de ma normalité. Et maintenant, nous sommes là tous les quatre. Dans le salon. En pleine Lune, sans lumières, en ombres diaphanes. Elle est magnifique, pieds nus, allongée sur le canapé, dans son monde oniro-lysergique (GHB-C), et Moi, troublé, la regardant, dans mon monde pulsio-réactionnel. Monsieur Moustache me dit de soulever son t-shirt, Bosco me dit de ne pas le faire. Je me mets à genoux devant le canapé, je ferme les yeux et soulève son t-shirt. Je touche en gardant les yeux fermés. Je malaxe ses petits seins sur ses sous-tifs en tissu. Elle gémit. Je glisse ma main droite sous le sous-tif. Je continue à malaxer ses seins. Je sens sa peau et ses tétons durs. Je fais glisser ma main sur son ventre. Elle a la peau douce. Je continue à descendre et malaxe son sexe sur son Jeans. Elle gémit faiblement. Monsieur Moustache me dit de la gifler, monsieur Bosco que ça ne sert à rien, je me mets au dessus d’elle, à genoux sur le canapé. Toujours les yeux fermés, je lui donne des claques et des coups de poings dans le visage. Je dégrafe son sous-tifs et l’enroule dans son t-shirt. Je le fais monter sur son cou et je serre. Fort. Elle convulse un peu. Je relâche. Je lui retire son Jeans. Elle a une petite culotte blanche en satin. Je la fais glisser sur ses chevilles. J’écarte un peu ses jambes et ouvrent les yeux. Elle a 2 lèvres gonflées avec un petit triangle de poils. Je lui redonne une claque. Je vais commencer l’expérience. Je lui retire tous ses vêtements. J’écarte ses jambes et regarde son sexe. Je mets deux doigts dedans et je touille. Elle gémit. Je la lèche goulûment. Il y a une bouteille en verre sur la table. Grande. Je la fais glisser dedans par le fond. Elle soulève son dos, elle la sent passer. Je l’enfonce jusqu’au goulot par lequel je la tiens. Je fais des mouvements avec la bouteille. Elle gémit faiblement. Le GHB-C est efficace. Je dois trouver quelque chose de plus gros à mettre dans son vagin. Monsieur Moustache me dit que dans le garage il y a sûrement des outils, Bosco que nous devrions partir, et je vais dans le garage. Il y a des outils, divers. Je prends une masse, un cric et un coupe-coupe à grande lame qui ne semblait attendre que moi. Il me gueule dessus « – Depuis le temps que j’attends, tu fais chier, bon direct hein, fait pas ta pute. ». Folle ambiance !

Je suis revenu au salon. Monsieur Moustache me dit de taper sur la bouche d’Anne-Lise avec la masse, Bosco que non, que si je fais ça, je ne pourrai plus revenir en arrière, et Coupe-Coupe « Tape fait pas chier, on va pas y passer la nuit ! ». Je ferme les yeux et je tape sur la bouche d’Anne-Lise avec Masse. Fort. Très. Les sons sont étranges, entre os brisés, liquide épais qui gicle, gémissements aigus de la femelle meurtrie et rire terrifiant de Masse. Le cric me demande ce qu’il fout-la ? Plus maintenant, il est dans le sexe de la chose et il tourne. Il y a du sang. De plus en plus, mais pas autant qu’avec Coupe-Coupe. qui éructe de joie « Bien ça, dans la petite pute, remonte, vide moi tout ça ! ». Monsieur Moustache me dit que je vais devoir enlever sa tête et Bosco que je perds la mienne. Et c’est l’orgasme de Coupe-Coupe : « Jamais ne j’aurais imaginé couper une si jolie tête, merci à tous ! ». Et c’est alors qu’arrive l’inévitable impondérable. Nous sommes donc tous les six, Moi, monsieur Moustache, Bosco, Coupe-Coupe, Cric et Masse en train de déguster le cœur de la femelle, et c’est là qu’apparaissent deux fées : une vieille et une jeune. En tout cas plus vieil et plus jeune que Anne-Lise. Je ne pense pas que vieille A-L a eu le temps avant de tomber au sol de comprendre pourquoi, ce qu’elle comprends maintenant : Coupe-Coupe vient de lui trancher les pieds ! D’un coup ! Ils font une fantastique équipe managée par monsieur Moustache : Cric est posé sur sa bouche, avec Bosco assis dessus qui nous dit d’arrêter nos conneries parce que « ça va mal finir tout ça (!!!) ! ». Masse lui brise les os de haut en bas : épaules, coudes, poignets, bassin, genoux. Coupe-Coupe est un sale con, il l’a viole ! Lame entière : 35 cm ! Jeune A-L regarde tout ça, dubitative. Je demande à monsieur Moustache si en la séparant en deux, elle sera deux fois plus jeune ? Il ne sait pas, et Bosco me dit que ça y est, ça va trop loin, ça dérape. Même en mots, même en film, même en seulement idée : ça dérape.
Le THC n’excuse pas tout : la séparer en deux et savoir si elle sera deux fois plus jeune ? Tu dérailles mon gars ! Allez hop ! Minerve ! Je vais l’écrire.

Monsieur Moustache : « Vas-y, écris ça, avec tous les détails bien gores et malsains, vas-y, fais-toi plaisir, ça n’existe pas ! », Soyez prévenu. Bosco « Ne fais pas ça, ça existe, on est là, jeune A-L ne t’a rien fait, ta folie est satisfaite avec Anne-Lise. ». Et Coupe-Coupe, Cric et Masse de renchérir « Elle n’existe pas plus que nous, tu es dans ton monde spycho-THisé, elle n’existe pas, tu peux la réduire en bouillie, elle n’existera plus, donc s’il y avait un doute, il sera levé. Tue cette pute ! »… Monsieur Moustache « Prends son âme, c’est
une représentation, prends son corps, elle est là, tu peux. ». Bosco « Regarde- là, innocente, pure, sans défense, tu pourrais en faire ce que tu veux, la violer, la frapper, la torturer, la découper en rondelles, la manger même, mais tu ne le feras pas. Tu ne le feras pas ? Tu ne dois pas la manger, c’est pas bon, bouh ! Pas bien ! Pas touché ! Ça va trop loin, je me casse… ». Moi « Le sang est noir dans le noir. ». Elle « Je suis, vous n’êtes plus, ils ne sont pas. ».

Cric s’est brutalement jeté à plat sur sa poitrine. Comme une balle. Elle est partie violemment à reculons et à heurter brutalement le mur avec son dos. Masse a alors tapé atrocement fort sur son front. Le haut de sa tête a explosé en une gerbe sphérique légèrement grisée, dans un étrange mélange de couleur de sang, de bris d’os et de cerveau. J’ai eu l’étrange impression qu’au moment où son crane explosait, ses yeux sont montés vers le haut, avant pour le droit de finir écrasé sous la masse, et pour le gauche de pendre vers le bas au milieu de ce magma biologique. Ce débris organo cranesque constitue une excellente colle pour la tenir debout contre le mur. Coupe- Coupe s’est glissé sous sa jupe, lame vers le haut et est remonté. Des flots de sang et d’organes se répandent à ses pieds, entre ses chaussures rouges. L’œil resté accroché semble regarder vers le bas ce qu’il s’y passe. Il s’y passe que Coupe-Coupe continue à la séparer en deux. Il a passé le mou, les organes du bas sont désormais répandus entre ses jambes, qui commencent à s’écarter vers la gauche et la droite, en glissant dans les débris organiques et le sang. Noir. Le sang est noir dans le noir. Au fur et à mesure que Coupe-Coupe la sépare en deux, les deux côtés s’allongent. Il est très efficace. Il découpe la cage thoracique pour continuer à monter. Quand elle est en deux parties, son cœur tombe entre ses jambes. Ce tableau est la quintessence de l’horreur. Coupe-Coupe est arrivé en bas de la tête. Tout ce qui se trouve en dessous est séparé en deux parties égales, y compris sa robe bleue, allongées à droite et à gauche, comme deux tapis, et retenues par seulement ce qu’il reste de sa tête, en haut, tout de moins ce que Cric et Masse n’ont pas encore dévorés, et que Coupe-Coupe coupe. Et mange. Coupez.

FIN

Je remercie pour leur aimable participation Bosco et monsieur Moustache, les sympathiques (ou pas !) personnages de The voices, un film complêtement taré pour lequel vous n’êtes probablement pas prêt-e !

The Voices - Bosco et monsieur Moustache
Bosco et monsieur Moustache, acteurs chien et chat.

Commentaires

Le 25 mars 2024 à 3:49 pm, Esciença a dit :


Saigneur, Marie, Joseph ! Kessesé ce truc ? Qui a pris le contrôle de mes doigts pour écrire un truc pareil ? Tu fais chier monsieur Moustache, je vais me faire lourder par mon hébergeur si tu continues à écrire des trucs pareils ! 😾😅


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